suite -- le prix Goncourt-

Edmond Huot de Goncourt, né à Nancy le 26 mai 1822 et mort
à Champrosay (Essonne) le 16 juillet 1896 chez Alphonse Daudet,
est un écrivain français, fondateur de l'Académie Goncourt.
Une partie de son œuvre fut écrite en collaboration avec son frère,
Jules de Goncourt.

Les ouvrages des frères Goncourt appartiennent au courant du naturalisme.

Issu d'une famille originaire de Goncourt en Haute-Marne,
il étudia, à Paris, au lycée Condorcet. Il fut, avec son frère Jules,
l'ami de Paul Gavarni, Gustave Flaubert, Alphonse Daudet, Émile Zola,
Guy de Maupassant et Théodore de Banville.

Eugène Carrière (1849-1906), présenté par Gustave Geffroy à
Edmond de Goncourt, fréquenta le « Grenier » de ce dernier, où
se réunissaient notamment Maurice Barrès, Alphonse et Léon Daudet,
Gustave Geffroy, Roger Marx, Octave Mirbeau, Auguste Rodin
et Émile Zola. Carrière a laissé au moins sept portraits d'Edmond,
qui lui rendait visite dans son atelier des Batignolles
(Pontoise, musée Tavet-Delacour).

Edmond de Goncourt est le fondateur de l'Académie Goncourt
qui décerne chaque année le prix du même nom.

Edmond de Goncourt est inhumé au cimetière de Montmartre à Paris.

le ciel était bleu mardi


j'ai cherché un nuage pour preuve


je suis à Port La Nouvelle


la plage est déserte - un grand vent


et je sors de chez le coiffeur- juste en face


voilà ma coupe- mèche violine !
le vent a déjà pas mal sévit


merci Robin pour les photos





bon mercredi !  bisous !

jeudi nous sommes allés sur les hauteurs de  Fitou
cueillir du thym
en retard le thym !!
nous en avons trouvé- il va sécher





au loin !! mais oui une capitelle pour mamé


elle est belle
en fait il y en a deux  !!


l'autre plus loin


 
on aperçoit l'étang de Leucate -- plus loin c'est la mer
sur l'étang - parcs à huitres et à moules






du romarin




des iris sauvages


un églantier




en bas la capitelle


en redescendant - le château de Fitou


à la sortie du village


et un ancien moulin à vent

• Le village de Fitou, situé dans l'Aude en limite des Pyrénées-Orientales, se niche entre mer et montagne. D'un côté les Corbières maritimes et de l'autre, l'étang de Leucate.
  Vous découvrirez des rues pittoresques qui s'étirent dans un vallon encaissé ainsi que la garrigue qui constitue un véritable conservatoire de la faune et de la flore des Corbières maritimes.

la balade est terminée !!

  juillet 2011

visite de Cucugnan ! village célébre pour les lettres de mon moulin
d'Alphonse DAUDET



Le village de Cucugnan se situe dans l'Aude, assez loin de la Provence. Il y règne un climat malsain, et la foi n'y est plus présente. Le curé raconte dans son sermon qu'il a rêvé qu'il allait au Paradis et n'y trouvait pas les habitants de Cucugnan ; il les a trouvés en Enfer. Il fait alors le projet de confesser tout le village et de redonner foi et vie au village entier.

déco de la terrase du restaurant

Moulin de Cucugnan

Nouvelle publiée dans les Lettres de mon moulin, Le Curé de Cucugnan n'est pas issu de l'imagination d'Alphonse Daudet. Il reconnaît ce fait dans l'incipit, contrairement à d'autres nouvelles où il cacha qu'elles étaient plus ou moins largement dues à Paul Arène. La première version du curé de Cucugnan a été écrite par Hercule Birat, né à Narbonne en 1796, dans ses poésies narbonnaises sous le titre Le Sermon du père Bourras qui sera reprise par Achille Mir, par Joseph Roumanille et par Frédéric Estre mais la version la plus célèbre reste celle d'Alphonse Daudet qui n'est que la traduction du conte de Roumanille. Mais quand l'on connait la richesse de la langue provençale on ne peut être qu'admiratif du talent de Daudet pour donner une traduction de cette qualité.

L'auteur reconnaît très honnêtement qu'il l'a trouvée dans l'Almanach provençal, écrite par ce grand gueusard de Roumanille. Beaucoup de lecteurs ne le croient pas. C'est pourtant rigoureusement exact, et le texte de Daudet est une simple traduction de la nouvelle, écrite en provençal. Daudet a seulement raccourci le texte, omettant un passage où est décrit le stratagème utilisé par le curé pour que tout le village vienne écouter son sermon.

En fait, le félibre provençal Roumanille s'était lui-même inspiré d'un autre auteur, Blanchot de Brennas, allant jusqu'à traduire littéralement certains passages, car Brennas avait écrit en français. Cependant, Roumanille a apporté beaucoup d'humour et de charme à cette histoire.

La chapelle sud, à droite de l'autel, abrite une statue de la Vierge
qui a la particularité d'être représentée enceinte.
Elle est en bois polychrome doré et date du XVIIè siècle.

n'oubliez pas le guide !
merci !

ce mardi soir Lady Marianne et Robin
ouvrent les portes du château !!

un clic sur le bouquet
pour lui faire un petit coucou !

la suite au prochain article !!